Musicienne de toutes les expériences, Eve Risser développe aujourd’hui une œuvre tournée vers l’autre et vers l’ailleurs. Ce projet est ainsi né de rencontres avec des griots et des musicien·nes à Bamako. Nourrie par l’énergie de guérison des mélodies maliennes, la pianiste a composé de nouvelles pièces pour son Red – anciennement White – Desert Orchestra et invite sur scène le Kaladjula Band de Naïny Diabaté composé de six musiciennes, pour une performance musicale façonnée par l’énergie de la musique mandingue et les sonorités hypnotiques de l’univers de la pianiste.« Ève Risser a le goût des sons inouïs et de l’expérimentation. Ce qu’elle tire d’un piano ébahit et son White (devenu Red) Desert Orchestra est un laboratoire passionnant. » Télérama
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